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TITOU Invité
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Posté le Ven 27 avril 2012, 16:05 Objet : correction de ma traduction |
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Dum Gabriel et Ridohan reliquissent me, Machometum Dei nuncium, ita solum sicut superius audivistis, ego redii per eandem viam qua primo veneram; et tantum ivi quod veni ad cortinas que prope Deum erant. Et cum ibi fui, cortine inceperunt se elevare, ita quod, cum unam ipsarum transiveram, alia per se ipsam se post modum elevabat, nec eciam mittebat aliquis ibi manum. Et hoc totum de potencia Dei erat, que ita maxima est quod nullus eam cogitare potest neque ipsius perfecte scire inicium seu finem. Nam sic eundo per cortinas illas tantum profectus sum quod in ter Deum et me non erant nisi due cortine solum; quarum una tenebrarum erat et altera sue potencie claritatis.
Voici ma traduction:
Tandis que Gabriel et Ridohan m'ont laissé, moi Mahomet, le messager de Dieu, comme vous l'avez déjà entendu, je suis revenu par le même chemin par où j'étais à l'origine venu.Et je suis allé tellement loin que je suis venu près des rideaux qui étaient près de Dieu.Et quand j'étais là-bas, les rideaux ont commencé à se lever, de sorte que, lorsque j'ai passé l'un deux, un autre devant s'élevait ensuite par lui-même à la manière de l'autre, et aussi quelqu'un n'envoyait pas de main là. Et toute cette puissance était de dieu, qu'ainsi il est le plus grand, parce que personne ne peut penser à lui parfaitement et ne pas savoir le début ou la fin. Car ainsi en passant à travers les rideaux, je suis parti parce que entre Dieu et moi ce n'étaient pas seulement deux rideaux dont l'un était de ténèbres et l'autre de l'éclat de sa puissance.
Si vous pouvez m'aider à corriger ma traduction, je vous en remercie.
TITOU |
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Anne345 Modérateur
Inscrit le 27 aoû 2007 Messages : 1916
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Posté le Ven 27 avril 2012, 17:48 Objet : |
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Pas mal. Revois les temps des verbes. |
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TITOU Invité
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Posté le Dim 29 avril 2012, 18:13 Objet : correction des verbes de la traduction latin-français |
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Tandis que Gabriel et Ridohan m'eussent laissé, moi Mahomet, le messager de Dieu, comme vous l'entendites déjà, je revins par le même chemin par où j'étais à l'origine venu. Et j'allai tellement loin que je vins près des rideaux qui étaient près de Dieu.Et quand je fus là-bas, les rideaux commencèrent à se lever, de sorte que, lorsque j'avais traversé l'un deux, un autre devant s'élevait ensuite par lui-même à la manière de l'autre, et aussi quelqu'un n'envoyait pas de main là. Et toute cette puissance était de dieu, qu'ainsi il est le plus grand, parce que personne ne peut penser à lui parfaitement et ne pas savoir le début ou la fin. Car ainsi seulement je partis à travers ces rideaux, parce que entre Dieu et moi ce n'étaient pas seulement deux rideaux dont l'un était de ténèbres et l'autre de l'éclat de sa puissance.
J' ai tenu compte de votre conseil et essayer de corriger.Si vous pouvez me dire si c'est mieux? merci bcp[/u] |
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Anne345 Modérateur
Inscrit le 27 aoû 2007 Messages : 1916
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Posté le Lun 30 avril 2012, 08:50 Objet : |
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J'ai parlé du temps des verbes, pas des modes. En l’occurrence imparfait/parfait. C'est la construction du verbe qui commande le subjonctif en français. Le parfait peut se traduire par un passé composé ou un passé simple, le passé simple est plus littéraire.
TITOU a écrit :Tandis que Gabriel et Ridohan m'avaient laissé, moi Mahomet, le messager de Dieu, comme vous l'entendîtes déjà, je revins par le même chemin par lequel j'étais à l'origine venu. Et j'allai tellement loin que je vins près des rideaux qui étaient près de Dieu. Et quand je fus là-bas, les rideaux commencèrent à se lever, de sorte que, lorsque j'avais traversé l'un d’eux, un autre devant s'élevait ensuite par lui-même à la manière de l'autre, et personne encore n’y mettait la main. Et tout cela (venait) de la puissance de dieu, qui est la plus grande[u] parce que personne ne peut [u]y (la puissance) penser parfaitement et ni savoir son début ou sa fin. Car passant à travers (eundo + per) ces rideaux j’avançais tant qu’entre Dieu et moi il n’y eut plus que deux rideaux, dont l'un était de ténèbres et l'autre de l'éclat de sa puissance. |
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