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Porsenna HadÉrent
Inscrit le 14 aoû 2020 Messages : 6
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Posté le Sam 15 août 2020, 22:41 Objet : aenigma |
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Sum initium mundi et finis saeculorum. Quid sum ? |
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Cloelia HadEpte
Inscrit le 02 jan 2012 Messages : 3366 Localisation : Suède
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Posté le Sam 15 août 2020, 22:52 Objet : Re: aenigma |
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Litera M. |
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Porsenna HadÉrent
Inscrit le 14 aoû 2020 Messages : 6
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Posté le Mer 3 mars 2021, 22:18 Objet : |
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Recte respondisti.
Si tu me intueris, ego quoque te intueor. Si oculi tui me vident, tum mei non te vident : caecum enim sum. Si tu mihi loqueris, ego quoque tibi loquor attamen voce egeo. Quid sum ? |
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Cloelia HadEpte
Inscrit le 02 jan 2012 Messages : 3366 Localisation : Suède
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Posté le Mer 3 mars 2021, 23:24 Objet : |
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Nonne speculum es? |
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Porsenna HadÉrent
Inscrit le 14 aoû 2020 Messages : 6
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Posté le Jeu 4 mars 2021, 10:46 Objet : |
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Recte respondisti.
Hoc est sepulchrum cadaver intus non habens
Hoc est cadaver sepulchrum extra non habens
Sed cadaver idem est et sepulchrum sibi.
Quid est ? |
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Cloelia HadEpte
Inscrit le 02 jan 2012 Messages : 3366 Localisation : Suède
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Cloelia HadEpte
Inscrit le 02 jan 2012 Messages : 3366 Localisation : Suède
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Posté le Ven 5 mars 2021, 17:14 Objet : |
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Je viens de trouver que cette énigme est connue depuis des siècles.
https://boowiki.info/art/enigmistica/pietra-di-bologna.html
"Dans ce remake le texte a perdu les trois derniers versets que peut être paru dans la version originale:
(LA) « Hoc est intus Sepulchrum cadavériques non habens Hoc est cadaver Sepulchrum extras non Habens idem Sed cadavérique Est et Sepulchrum Sibi »
(IT) « Ceci est un tombeau qui contient aucun cadavre Ceci est un cadavre non contenu dans une tombe mais le cadavre et la tombe sont la même chose » Selon Richard White ces lignes sont la traduction d'un ancien épigramme grec attribué à la Agathias Scholastic. Le texte aurait été latinisé d'abord par Decimo Magno Ausonio et, un millénaire plus tard, poliziano."
https://astrolabe.msh.uca.fr/fevrier-2007/dossier/un-mystere-bolonais-aelia-laelia-crispis
"C'est précisément avec le terme d'« énigme de Bologne » que les voyageurs identifient Aelia Laelia Crispis. L'ouvrage le plus intéressant est Mysterium coniunctionis de Carl Gustav Jung. Dans un chapitre intitulé « L'énigme bolonaise », Jung propose une analyse de l'état psychique et de la fantaisie érudite des hommes de lettres de la Renaissance et des siècles suivants ; il présente ainsi les différentes interprétations que les savants ont données au cours des siècles à cette inscription cryptique. L'inscription avait déjà été diffusée dans les groupes d'académiciens milanais, pour en demander une interprétation et une première réponse était arrivée en 1547 par un professeur de l'université de Padoue, Marius Michaelangelus, qui avançait l'hypothèse de l'identification d'Aelia Laelia Crispis avec l'eau pluviale. Une vingtaine d'années après, le noble anglais Richard White publie à Padoue une dissertation sur l'inscription, qui rapporte trois interprétations : la première est celle de Michaelangelus, la deuxième y voit au niveau superficiel Niobé et au niveau plus profond la représentation de l'âme rationnelle, la troisième propose l'identification avec l'Idée platonicienne. Le savant bolonais Carlo Cesare Malvasia présente toutes les interprétations proposées jusqu'à ce moment, dont celle, toute nouvelle, qui atteint plusieurs voyageurs (parmi eux Maximilien Misson) ; étant donné la source digne de foi de laquelle elle vient, Malvasia lui-même : il s'agirait de la pierre tombale d'une fille, Aelia Laelia Crispis elle-même, promise en mariage avant même de naître, mais morte à cause d'un avortement." |
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